Avant de vous engager dans un projet « vert », nous vous invitons à répondre honnêtement à ces questions (elles portent sur la souveraineté, les bénéfices pour le peuple, la transparence, la logique et la justice) :
Souveraineté : Le contrat renforce-t-il notre contrôle sur nos ressources ou l’aliène-t-il ? (Si un acteur externe obtient la part du lion, alerte rouge).
Bénéfices pour le peuple : Les revenus profitent-ils directement et majoritairement aux communautés locales et à la nation, ou à des intermédiaires et des élites ?
Transparence : Le contrat et ses termes sont-ils publics et compréhensibles par tous, ou sont-ils négociés en secret ?
Logique : Le mécanisme est-il fondé sur des réalités vérifiables ou sur des fictions spéculatives ? (Attention à la « déforestation évitée »).
Justice : Le projet renforce-t-il les droits des populations locales ou les dépossède-t-il de leur héritage ?
Si vous obtenez plus de deux réponses négatives, félicitations : vous venez d’identifier non pas une solution, mais une nouvelle version d’un « mirage vert ».